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La démocratisation des pays en «transition»: une étude des idées principales

Une transition démocratique dans l’espace post-soviétique a commencé après la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (l’URSS). Les anciennes républiques soviétiques ont déclaré l’établissement du régime démocratique. Certaines ont fait des progrès et ont été considérées comme des «des démocraties en transition », ad hoc, par la communauté internationale. L’idée d’un aide international aux pays post-soviétique au cours de ce processus venus à être assimilée à l'élaboration et à la croissance des ONG, et puis, cette hypothèse est devenue dominante parmi les cercles diplomatiques et scientifiques.

Au dernier quart du XXe siècle les régimes politiques dans certaines régions du monde ont été changés beaucoup: ce changement a été défini par les savants et les hommes politiques comme un processus de la démocratisation [1]. Selon T. Carothers [1; 5], il y avait quelques raisons importantes. Brièvement, on peut les décrire en utilisant un terme répandu: la «troisième vague» de la démocratisation [2]. Il s’agit d’une tendance politique de la transformation des régimes qui a commencé dans les pays différents selon leur location, développement historique et politique, expérience économique. Cette tendance a été indiquée comme une transition du régime dictatorial à celui de démocratie. Les experts américains ont investi beaucoup d’espoirs dans ce processus qui leur a paru une démarche envers la «révolution démocratique mondiale». Cette idée transnationale était utilisée partout pour expliquer et, même, pour soutenir directement la plupart de révolutions, crises sociaux et, parfois, de guerres civile autour du monde [3]. Dans les milieux académiques ces changements avaient éveillé beaucoup de disputes qui ont fait naître un nouveau paradigme politique au cours de la transitologie. Nous pouvons inclure dans ce processus de transition les pays post- soviétiques.

Une transition démocratique dans l’espace post-soviétique a commencé après la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (l’URSS). Les anciennes républiques soviétiques ont déclaré l’établissement du régime démocratique. Certaines ont fait des progrès et ont été considérées comme des « des démocraties en transition », ad hoc, par la communauté internationale. L’idée d’un aide international aux pays post-soviétique au cours de ce processus venus à être assimilée à l'élaboration et à la croissance des ONG, et puis, cette hypothèse est devenue dominante parmi les cercles diplomatiques et scientifiques (Ottaway, Carothers, 2000; Korten, 1990; Weiss et Gordenker, 1996). En même temps, il existe un nombre des observations de l’activité des ONG «en terrain» qui évoque un sens d’incertitude par rapport aux résultats concrets et une efficacité de leurs efforts. Une dépendance permanente du financement des projets et une ignorance des conditions locales, des traditions et de la culture particulière de chaque région et de chaque pays sont des obstacles assez sérieux pour une évaluation positive de leur travail au cours de la démocratisation dans les états en développement (Escobar, 1995; Fisher, 1995; Koppel, 1995; Tvedt, 1998; Weisgrau, 1997; Wedel, 2001). Essayons-nous à étudier ces deux dimensions de l’idée démocratique.

Carothers nous propose une telle analyse  des positions  essentielles du  paradigme  démocratique [1; 6]. «Premièrement, chaque pays qui a un processus du mouvement à partir du régime dictatorial, tout d’un coup, peut être déclaré comme un pays en transition démocratique. Deuxièmement, chaque pays en transition démocratique doit passer par trois phases: «opening» ou la dissolution du régime autoritaire,  puis, «breakthrough» ou la chute du régime et l’établissement d’un système d’état plus ouvert et plus libre,   enfin, «consolidation» ou la consolidation de pouvoir d’état, des institutions étatique et civiles qui mènent vers la démocratie consolidée. Troisièmement, l’établissement des élections libres mène toujours à la libération de la société et aide à former un système du pouvoir démocratique. Quatrièmement, les conditions historiques, économiques et sociales n’ont pas une importance pratique au cours de ce processus, chacun peut établir   un régime démocratique. Cinquièmement, la transition démocratique a toujours comme conséquence la modernisation des institutions d’état, leur libéralisation et, s’il est nécessaire, leur réorganisation» [1].

Les affirmations précédentes de T. Carothers donnent plusieurs exemples de la faiblesse d'arguments des partisans du paradigme de transition démocratique. Selon lui, peu de pays qui avaient commencé le mouvement vers la démocratie ont eu du succès au cours de ce processus. Certains sont revenus à l’autoritarisme plus rigide qu’ils avaient plus tôt. La plupart de pays qui avait été déclaré les régimes transitoires s’est déplacés dans la «grey zone» de la politique [1].

Comme ils sont nombreux et divers par leurs conditions historiques, leurs formes du pouvoir et leurs problèmes principaux, il existe beaucoup de termes pour les identifier. En gros, on peut les interpréter avec une définition suivante: «un pays qui est coincé à une certaine phase de la démocratisation». Mais pour une analyse des exemples politiques l’auteur propose à étudier «la nature des choses». Il partage la diversité de ces pays en deux groupes généraux: avec un syndrome du pluralisme incapable et un syndrome de la politique d’une puissance dominante [1; 10]. L’auteur évalue la Russie et le Kazakhstan comme les pays de deuxième groupe. Ces deux types de syndromes d’état ont une position stable. Selon les exemples existants, l’auteur confirme que tous les cinq positions du paradigme démocratique peuvent être réfutées par une analyse de la réalité contemporaine. 1) Un mouvement à partir du régime de dictateur ne signifie pas le début de la transition démocratique. 2) La transition démocratique peut passer d’une façon incohérent. 3) L’établissement des élections libres ne garantit pas l’établissement d’un système démocratique. 4) La position de départ dans un pays joue un rôle important au cours de la transition démocratique. 5) Le processus démocratique demande des efforts pour la modernisation des institutions politiques et civiles (ils n’apparaissent pas d'eux-mêmes) [1].

Enfin, l’auteur en vient à la conclusion qu’il faut éviter les affirmations fixées par le paradigme de la démocratisation pour faire une analyse plus conceptuelle. Cette analyse est nécessaire pour élaborer des programmes de l’aide démocratique plus efficaces [1].

Après des lectures de ces propositions pratiques, il nous semble que l’auteur fait la même faute que les experts qu’il critique. A propos, il donne un exemple de l’aide aux pays de deuxième type du «syndrome»: la stimulation de l’augmentation du nombre des forces démocratique qui vont organiser une alternative du pouvoir d’état. Aux conditions pratiques le pouvoir d’un tel état ne permet pas de le faire et les citoyens peuvent interpréter l’aide des pays démocratiques étrangers aux partis politiques comme une intervention dans la politique intérieure. Cependant, il faut constater que telles réflexions sont bien renforcées par les exemples concrets. Jusqu’à ce jour, beaucoup d’experts internationaux pensent que ce paradigme est actuel. Ils n’imaginent pas d’autres versions d’évaluation de la démocratie et des régimes politiques en transition.

Une «idée optimiste» que «la démocratisation peut être encouragée et soutenue — ce qui revient à dire que les institutions et pratiques démocratiques sont possibles à peu près partout» [4; 4] rencontre beaucoup de critique par rapport à «l’idée profondément pessimiste selon laquelle les conditions préalables de la démocratisation étaient rarement réunies» [4; 4].

Cela explique des situations réelles quand une déclaration du régime démocratique n’est pas poursuivie d’une telle réalité pratique ou ce cursus rencontrait  des obstacles sociaux et économiques, ainsi qu’une résistance des élites locales à partir dudit moment. Les conditions historiques  et  culturelles  peuvent  jouer  un  rôle  vraiment  important  au  cours  de  ce processus: «l’hypothèse actuelle est qu’une société civile peut être renforcée par des actions délibérées d’innovation institutionnelle et que la possibilité de mettre en œuvre ces actions et d’en obtenir de bons résultats n’est pas totalement tributaire des habitudes culturelles et sociales» [4; 5].

Si nous parlons d’un établissement de la démocratie comme un système politique, nous devons l’évaluer selon le cadre législatif et autocratique. Si nous la voyons comme un mode de vie, cela nous pose au niveau social lié aux conditions historiques, culturelles et socio-psychologique, parce que cette forme de la transition démocratique exige «la conceptualisation» de «préférences culturelles et morales » selon une vision universelle sur la démocratie [4; 5].

Selon Koppel, les perspectives de démocratisation, dans ce cas, dépendent généralement de  trois facteurs essentiels qui nous avons exprimé sous forme de trois questions: 1) Est-ce que l’unité nationale et le sens de sécurité qui a des liens direct avec l’étatisme (un statut de l’»Etat-nation» fort) reste une valeur générale pour la population d’un pays en transition démocratique? 2) Est-ce que la démocratie comme un produit de culture internationale est pleinement convenable pour la culture locale ou nationale? 3) Comment l’état et son peuple, estiment — ils un aide ou un soutien étrangères qui viennent de l’étrangère pour renforcer des changements de toute sorte? [4; 14].

Ces questions sont posées à cause des hésitations qui existent dans les états en transition par rapport aux réformes   et   à   l’influence  des   acteurs   de   démocratisation   basant   sur   une  plateforme   d’une vision transnationaliste. Nous pouvons discuter de quoi s’agit-elle, cette hésitation? Y a-t-il une peur de perdre un contrôle de société, ou ses origines se trouvent dans une histoire de ces nations? En tout cas, une étude des conditions particulières est la procédure nécessaire.

Les pays post-soviétiques restaient un objet de l’intérêt de différents acteurs internationaux au cours de leur transition démocratique après la chute de l’URSS. Certains pays ont été assez rapidement acceptés dans un «cercle» des pays démocratique réunis au sein de l’Union européen (la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie). Les autres sont considérés comme des pays qui sont en transition permanent: la Géorgie ou la Moldavie. Les autres, tels comme la Russie ou l’Azerbaïdjan, l’Ukraine ou le Tadjikistan, ont une position discutable à cause de leur respect des principes démocratiques. Selon Samuel Huntington, les obstacles de la démocratisation sont divisées en trois groupes principaux: politiques, culturels et économiques. Un manque de l’expérience de gouvernance démocratique est poursuivi d’apparition des leaders non-démocratiques. Les obstacles culturels se basent sur les valeurs morales et les visions psychologiques différées de ces-ci qui sont évaluées comme universelles et convenables pour tous. Une austérité et un chômage, un échec des réformes économiques sont un ensemble des obstacles économiques qui menace à l’établissement de la démocratie au niveau sociétal [4; 5].

Nous pouvons trouver une vision aussi pertinente pour une étude de l’impact des ONG transnationales à la démocratie chez Robert Cooper. Il a distingué les états selon leurs caractéristiques principales : les États «prémodernes », qui n’ont pas accédé à une vie d’État-nation doté de frontières fixes, d’un gouvernement doté du monopole de la violence légitime et capable de déployer une véritable politique étrangère. On range dans cette catégorie la Somalie et l’Afghanistan; les États «modernes» (la Chine, le Pakistan, le Brésil, etc.) très attachés à leurs intérêts nationaux, pour lesquels l’idée de souveraineté et de frontières joue un rôle important; les États « post-modernes », c’est-à-dire les démocraties de type occidental qui ont rejeté l’usage de la force pour régler leur différends et dont la sécurité repose en grande partie sur la transparence de leur politique étrangère et l’interdépendance de leur économie [4; 14]. Ce classement nous permet d’accepter une hypothèse de Cohen qu’un processus de la « mondialisation est perçue différemment par chaque pays : avantage pour les uns ; source de problèmes sans issue, à court et moyen termes, pour les autres» [5].

Il faut noter aussi qu’il existe une vision «minimaliste» sur la démocratisation dans certain cas, quand on estime «la chute de régimes autoritaires» en Europe et en Asie et l’établissement d’«un système uniquement politique» comme un résultat acceptable et un certain succès [4; 14]. Si nous revenons aux conditions réelles d’existence des ONG transnationales, dont les efforts au cours de la démocratisation attirent beaucoup d’attention des OIG et de la société mondiale, nous voyons que leurs rapports annuels concernant la situation actuelle dans certains pays post-soviétique n’indiquent pas un grand succès. Nous avons déjà noté la réaction des autorités étatiques dont les ONG transnationales ont reçu en Russie. En même temps, un grand nombre des associations non-gouvernementales locales fonctionnent dans l’espace post- soviétique et ne rencontrent pas d’opposition de leurs autorités étatiques. Elles montrent un vrai succès par rapport à l’échec des premières: leur nombre augmente chaque année, leur possibilité d’engager les citoyens présente un bon résultat. Pouvons-nous supposer qu’une telle différence entre l’efficacité d’action des uns et des autres dépend généralement de leur mode d'interaction avec les autorités étatiques locales? Nous devons faire une digression sur la nature d’activité des ONG de deux types, transnationales et locales, pour trouver une bonne réponse à cette question. 

 

References

  1. Carothers Т. The End of the Transition Paradigm // Carnegie Endowment for International Peace. — 2002. — Р.
  2. Huntington S. Democracy For The Long Haul // Journal of Democracy. — Vol. 7. — № 2. — 1996. — Р. 3–13.
  3. Le soutien à la démocratie apporté par l’Europe en temps de crise / [ER]. Access mode: https://w democracyendowment.eu/fr/news/european-democracy-support-in-times-of-crisis/
  4. Koppel В. Les perspectives de démocratisation en Asie du Sud-Est. Aspects locaux et influences internationales // Les Etudes du CERI. — № 7. — 1995. — Р.
  5. Huntington The Third Wave: Democratization in the Late Twentieth Century. — Oklahoma: University of Oklahoma Press, 1993.

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Philology is the study of language in oral and written historical sources; it is the intersection between textual criticism, literary criticism, history, and linguistics.[

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